C’est « le fiasco de l’été ! » pour les écolos. Rareté des trains, absence de services et de desserte par le tram, navettes bondées, accès embouteillés, correspondances impossibles : la seconde gare TGV de Montpellier, située à 6 km de la gare Saint-Roch, aura été au centre des crispations depuis son ouverture le 7 juillet dernier. Seuls six trains de voyageurs s’y arrêtent quotidiennement, Patricia Mirallès, députée LREM de l’Hérault, défend cette gare TGV d’une valeur de 135 millions d’euros.